Le jeudi 5 avril 2012
Dans la réflexion sur le développement de la Métropole, il semble inéluctable de louer la ville dense, lieux d'échanges et de stigmatiser la périphérie topophage et endormie. Les enjeux sont évidemment plus complexes, fatalement plus subtils. Si le pavillonnaire ne peut plus être une forme urbaine envisageable, les lotissements continuent pourtant de s'étaler sur les terres agricoles.
Les lotissements répondent-ils pour autant aux attentes réelles des citoyens?Il importe, aujourd'hui, d'imaginer des solutions architecturales et des réponses urbaines capables de réorganiser la Métropole dans un projet de densités diversifiées.