Le jeudi 16 juin 2011
On sait en effet depuis longtemps que densité perçue et densité mesurée révèlent des écarts qui pointent les limites de l'analyse quantitative. Apparaît alors clairement l'enjeu de ces soirées-débat. Il n'est autre que celui de la « métropole d'après Kyoto » : combattre l'étalement urbain dispensateur de gâchis de terres agricoles, compléter ou optimiser le réseau de transports en commun pour limiter l'usage de la voiture, rendre la ville et ses services de proximité accessibles au plus grand nombre.
Cette soirée s'est structurée autour de trois tables rondes :
> Du règlement à l'urbanisme opérationnel : quelle marge de négociation ?
> Le paradigme de l'intensité : quels nouveaux équilibres ?
> Les temps de la pédagogie : quels partages avec l'habitant ?